La Froidure

A André-Chavanne (mon collège, gymnase pour vaudois qui traîneraient par là) nous avons un journal "pour le Chavannien moyen, je suis venu, j'ai étudié et je suis parti", le Schmeuks!

Et voici que sa première édition est sortie! Alors entre le cours de math et d'allemand je l'ai lu. Pour y trouver un article sympatoche sur le fait que cette année (merci Mr. le Directeur), nos examens de fin de semestre ce feront sur deux semaines à la fin novembre (juste après mon anniversaire, po juste) et non pas une semaine en décembre et une en janvier. Le voici donc...

La Froidure

N'avez-vous pas, vous aussi, senti le léger rafraîchissement de l'air? Oui, je parle bel et bien du petit coup de froid qui nous contraint à rester dans nos jolies tours et qui nous empêche d'être bien réveillés pendants les premières heures de la journée. Car comme pour tous les animaux, le froid a un impact sur l'élève. Celui-ci devient plus lent, plus paresseux. Il change ses fourrures légères pour d'autres plus épaisses et surtout, on remarquera le nombre anormalement élevé d'absences matinales (la maladie de la panne d'oreiller). Mais tout ceci ira en s'empirant car la température va continuer à baisser et c'est quand elle aura presque atteint son plus bas niveau que les semestrielles vont tomber. Maintenant imaginez l'élève diminué physiquement et psychologiquement par le froid, réduit quasiment à l'état de larve, luttant pour sa survie scolaire, cet élève, devra passer la rude épreuve des semestrielles. Semestrielles qui seront cette année , Ô joie, toutes regroupées pendant la même session. Alors je vous pose la question: n'est-ce pas un petit peu trop pour les pauvres élèves que nous sommes?

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